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Toxic Story

Sous-titre
Deux ou trois vérités embarrassantes sur les adjuvants des vaccins


Depuis quelques années, une défiance croissante envers les vaccins gagne la population. Des rumeurs alarmantes circulent sur leurs effets secondaires... Et les atermoiements des autorités politiques et sanitaires sur la toxicité de certains composants entretiennent l’inquiétude. Soucieux de casser ce cercle vicieux, Romain Gherardi lève le voile sur les principaux suspects : les adjuvants aluminiques, présents dans de nombreux vaccins.

Ce livre raconte son histoire, celle d’un professeur hospitalo-universitaire qui, par le plus grand des hasards, voit apparaître dans les années 1990 une pathologie inconnue. La myofasciite à macrophages, comme il l’a nommée, intrigue le monde de la santé autant qu’elle l’inquiète. Mais dès lors qu’il en a identifié la cause – les adjuvants aluminiques –, Romain Gherardi constate un revirement soudain. Articles scientifiques refusés. Financements taris. Réunions pipées. Le mot “vaccin” lui ferme toutes les portes. Il poursuit pourtant ses recherches, avec d’autant plus de persévérance que la pathologie présente de troublantes ressemblances avec d’autres syndromes jusqu’alors inexpliqués : le syndrome de fatigue chronique et le syndrome de la guerre du Golfe. Mais il a beau renverser les dogmes en vigueur – élimination rapide des adjuvants après la vaccination, innocuité de leur faible dose –, accumuler les éléments nouveaux, les autorités sanitaires et les industriels du vaccin persistent dans le déni, ou instillent le doute sur l’interprétation de ses résultats.

«Toxic Story» est une enquête scientifique sur les adjuvants et le récit d’un long dessillement : celui d’un médecin-chercheur qui a choisi le parti de la science. Le parti des patients.


Romain Gherardi participe au colloque organisé par l'Institut des sciences de la communication (ISCC - CNRS/Pars-Sorbonne/UPMC) et l'Association des journalistes scientifiques de la presse d'information (AJSPI) :

Les journalistes face aux vaccins, mardi 25 octobre.

14h00 à 15h00 : Les adjuvants, controverse centrale de la défiance. Table ronde avec Romain Gherardi, chercheur (CNRS) et Brigitte Autran, PU-PH (UPMC). Animée par Alain Labouze, rédacteur en chef de Science Actualités (Universcience).

octobre, 2016
13.50 x 21.50 cm
256 pages


ISBN : 978-2-330-06893-6
Prix indicatif : 21.00€



Où trouver ce livre ?
Ce livre existe également en version numérique

[Romain Gherardi ] livre dans Toxic story, le récit, mené tambour battant, de ses recherches sur les adjuvants vaccinaux. Recherches qui s’apparentent à une aventure aux multiples rebondissements et qui sont aussi devenues pour l’auteur — à mesure que les obstacles se sont dressés devant lui — l’enjeu d’un combat personnel. (…)

Tout au long de son récit, le professeur Gherardi met crûment en cause la culture qui prévaut dans nombre d’agences de sécurité sanitaire qui envisagent l’évaluation du risque comme une coproduction avec les industriels. Il en ressort, dit-il en substance, que le doute bénéficie plus fréquemment aux sociétés pharmaceutiques qu’à la santé publique. Et du doute il en reste à foison.

Le Monde

C’est un livre rare, et il restera longtemps à portée de main (…).écit, mené il est vrai de

Le récit, mené il est vrai de main de maître, est parfois haletant. On y découvre un monde organisé pour la dénégation, celui des agences de santé publique, des cabinets ministériels, de l'OMS. Il ne fait plus aucun doute que l'aluminium - les considérations économiques et financières sont décisives - est un danger considérable pour une partie des vaccinés.

Fabrice Nicolino, Charlie Hebdo

En 15 ans, le marché mondial du vaccin a augmenté de 9 à 59 milliards de dollars. L'OMS prévoit que le chiffre d'affaires atteindra 100 milliards de dollars en 2025. En l'état, les adjuvants aluminiques, bon marché, permettent aux laboratoires de diminuer par six les doses d'antigènes présentes dans les vaccins qui, elles, sont bien plus coûteuses. On comprend leurs résistances ! Il faut savoir aussi que les experts mandatés par les agences sanitaires pour formuler un avis sur nos travaux ont tous des liens d'intérêts avec l'industrie des

vaccins... Pensez que celle-ci prévoit de mettre sur le marché de 120 à 200 nouveaux vaccins. L'encéphalomyélite myalgique touche entre 1 et 2 % de la population aux États-Unis. Aujourd'hui la lésion de myofasciite à macrophages persistante concerne une minorité de vaccinés, mais demain, avec la multiplication des injections vaccinales avec adjuvants aluminiques, une proportion très supérieure risque de développer ce syndrome.

Le professeur Gherardi interviewé par Jean-Claude Noyé, Le vie

Ce livre, où l'on accompagne ce chercheur atypique dans un parcours dressé d'embûches par le puissant lobby pharmaceutique, est passionnant.

60 Milllions de consommateurs

Réunions faussées, pressions des industriels et crapuleries diverses grossissent le dossier au fil des page

Alternative Santé

Conflits d'intérêts majeurs dans le monde médical, recherches parcellaires, lobbying industriel : les révélations donnent la nausée.

Profession Sage-Femme

Romain Gherardi raconte ses tâtonnements. Jamais il ne remet en cause l'utilité des vaccins, mais il s'interroge. Avec malice, il se souvient comment tous ses amis chercheurs le félicitent au tout début, puis comment le vent se met à tourner quand il évoque un lien avec le vaccin. Crime de lèse-vaccin. Et ne parlons pas de l'absence de budget de recherche quand il tente de décortiquer le lien entre adjuvant et fatigue chronique. Son livre est ainsi, passionnant, il se lit comme un polar. Mais il n'y a ni mort ni assassin. Juste des questions. Il donne même envie d'en débattre (…)

Eric Favereau, Libération

C’est l’histoire d’un scientifique qui a eu le malheur de mettre les pieds dans un domaine tabou, celui des vaccinations. Le Pr. Romain Gherardi, spécialiste des maladies neuromusculaires, raconte l’histoire de ses recherches dans un livre qui se lit comme un polar.

Catherine Sokolsky, Que Choisir santé

Comprendre que, en matière de sécurité des adjuvants, tout était faux, fragmentaire et non pensé fut un choc. Découvrir le fonctionnement des agences sanitaires fut un second choc. Je pensais, par exemple, que l’agence du médicament était la police du médicament, avec pour rôle de comprendre, de mettre en demeure, etc. Mais non : après le scandale du Mediator, le rapport de l’IGAS [l’Inspection générale des affaires sociales] a parfaitement décrit l’Afssaps [l’Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé] comme un bastion de l’industrie pharmaceutique, s’évertuant à temporiser et à empêcher que la lumière soit faite sur les questions dérangeantes. L’Afssaps, dissoute en 2012, a été remplacée par l’ANSM [l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé] mais il demeure une profonde réticence à remettre en question l’industrie pharmaceutique.

Interview de Romain Gherardi par Anne-Sophie Novel , Le Monde

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