Aller au contenu principal

Schubert

Sous-titre
L'ami Franz



Franz Schubert (1797-1828) ? André Tubeuf, à qui l’on doit tant de livres de référence sur les grands compositeurs, notamment Mozart et Beethoven, n’avait jamais écrit sur lui. Dans cet essai d’une grande profondeur, il évoque “l’ami Franz”, cette figure à la fois familière, étrange et fraternelle.
En analysant ses sonates pour piano, sa musique de chambre ou ses lieder, André Tubeuf rappelle l’inépuisable capacité de consolation du compositeur, sa mélancolie attendrie, ses larmes et sa main tendue vers l’auditeur, jamais directive, toujours accueillante, qui n’est qu’à lui.
Car, en fin de compte, Schubert, ce musicien visionnaire, est notre ami. À nous de mériter un peu cette amitié qu’il ne se lasse pas de nous offrir. Osons le rejoindre. Le chemin va être sans fin…

novembre, 2021
10.00 x 19.00 cm
192 pages


ISBN : 978-2-330-15756-2
Prix indicatif : 19.50€



Où trouver ce livre ?
Ce livre existe également en version numérique

Dans son livre d'une grande profondeur, l'auteur évoque précisément « l'ami Franz » dont il trace pour les lecteurs une image à la fois familière et fraternelle, sans omettre toutefois son « étrangeté. »

José Vanderveeren, AGENCE BELGA

(…) on commence un Tubeuf comme on monte dans un vaisseau spatial, à bord duquel on croisera des étoiles plus ou moins brillantes, dont on ne connaîtra pas toujours le nom ni la composition chimique mais dont on n’en imaginera que mieux les mystérieuses correspondances.

François Lafon, MUZIKZEN

On fera l’hypothèse, à la lecture de ce livre autobiographique, que les moments de grâce pure, ce pléonasme, qui en constituent le foyer, furent les réels et vrais vecteurs de la constitution de la personnalité d’André Tubeuf et non les mondanités auxquelles on a si souvent et pesamment assimilé et réduit son activité.

André Hirt, MUZIBAO

Car dans cet ouvrage profondément intime apparaît aussi en filigrane l’immense amitié que Tubeuf a pour Schubert : « un frère », « une main qui tient la mienne, la tire doucement ». L’émouvant hommage d’un grand mélomane à celui qu’il n’aura cessé d’appeler « mon ami Franz ».

Lou Heliot, PIANISTE