Fruit de dix ans d’entretiens avec Bertrand Dermoncourt, cet ouvrage laisse la parole à Valery Gergiev, chef d’orchestre le plus demandé au monde et directeur du Théâtre Mariinsky depuis près de trente ans. Actuellement, Valery Gergiev entame, à la tête de l’Orchestre du Mariinsky, une intégrale de« L’Anneau du Nibelung» de Richard Wagner sur deux saisons, entouré de chanteurs de sa troupe permanente et de quelques invités de choix. Une distribution incandescente pour cette extraordinaire fresque musicale. Les concerts seront accueillis à la Philharmonie de Paris en mars 2018 et autour de ce programme se déploie toute une série de conférences autour de l'œuvre de Wagner.
février, 2018
11.50 x 21.70 cm
224 pages
ISBN : 978-2-330-05628-5
Prix indicatif : 22.00€
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Ce livre était une nécessité.
Il manquait un vrai livre d’entretien, où les interlocuteurs prennent de la hauteur, analysent les grandes lignes d’une carrière déjà longue de quarante ans et cherchent ensemble à percer le mystère d’une vocation.
Bertrand Dermoncourt s’attèle à la tâche avec le talent qu’on lui connait. Il a pour lui une plume alerte, une connaissance sans pareille de la musique russe et de son interlocuteur, et surtout … de la patience. Les rencontres avec Valery Gergiev s’échelonnent sur plus de dix ans, la première ayant eu lieu au travers d’une cloison de douche (!). Travailler sur un temps aussi long est devenu rarissime dans le monde de la presse, et permet évidemment d’aller plus en profondeur, et de découvrir des facettes surprenantes.
Un bel hommage à un des artistes les plus fascinants de notre temps.
Toute la force du livre vient de sa capacité à faire apparaître la vertigineuse cohérence d’une vision musicale tellement large qu’elle englobe toute la vie, bien qu’elle reste souvent cachée derrière une image publique de Gergiev qui, au fond, le protège.
Une histoire intime se glisse dans cette énergie musicale qui le traverse et qui éclate face à l’orchestre avec fougue et générosité.
Un éclairage bienvenu sur l’une des personnalités les plus étonnantes de la direction d’orchestre actuelle.
Valéry Gergiev répond à toutes les questions de Bertrand Dermoncourt, musicales et autres, et les réponses sont aussi directes et précises que les questions sont pertinemment posées.
“Un homme” […] à découvrir à travers ces pages très riches, et leurs leçons d’énergie – comme de modestie.
Chef d'orchestre exceptionnellement doué, Valery Gergiev méritait une confession. Elle fait l'objet d'un livre passionnant.
Une conversation fleuve, qui s'écoule tout naturellement et qui emporte le lecteur dans le siphon des profondeurs du sentiment musical.
Un livre passionnant sur un homme, un système et un pays.
Un passionnant livre d’entretiens. Le résultat d’un long travail d’approche.
Une galerie de portraits, de personnages.
C’est presque un exploit d’avoir réussi à réunir tous ces propos de Gergiev.
Gergiev se raconte depuis son enfance ossète jusqu’à aujourd’hui.
Un immense chef, charismatique et au destin hors du commun.
Voici un livre – le premier en français – permettant de percer un peu le secret de la formidable énergie qu’il déploie depuis quatre décennies au service de son art et de son pays. Saluons déjà le tour de force ayant consisté, pour Bertrand Dermoncourt, journaliste et éditeur, à se glisser dans l’agenda d’un homme aussi occupé pour mener nombre d’entretiens depuis 2005.
Dans un livre, le chef d’orchestre russe revient sur son amour de la musique, ses origines et sa proximité avec Vladimir Poutine.
La carrière [de Valery Gergiev] est détaillée dans un livre d'entretiens sorti fin février en France, signé Bertrand Dermoncourt (Actes Sud).
Gergiev y revient sur le vote inédit, en pleine Glasnost de Gorbatchev, qui l'a porté à la direction artistique du Mariinsky en 1988, ses efforts pour donner à ce vieux théâtre de 235 ans une visibilité internationale et sa contribution au rayonnement des œuvres russes.
Ultramédiatique et poutinien, il a construit un empire entre répertoire, salles et concerts pléthoriques. Et fait l'objet d'un livre d'entretiens.
Le chef d'orchestre russe fout une trouille constante aux assistants ou représentants censés l'attendre, le conduire, le guider. Le message est clair: le chef n'aime pas être dirigé.
Gergiev est un bâtisseur en queue-de-pie. A la tête du Mariinski depuis 1988, il en assure plus que les fonctions de directeur musical. Il est directeur tout court, décide de tout et tranche.
Pour comprendre le parcours et les choix [du chef], lire Rencontre avec Valery Gergiev de Bertrand Dermoncourt.
Pour tout savoir sur Valery Gergiev, je vous invite à vous procurer ce livre !
Le témoignage recueilli raconte un homme qui a combattu pour la culture, un chef à la carrière “digne d’un Karajan”.
Précipitez-vous pour lire ce livre formidablement intéressant.
Un livre passionnant.
Après avoir poursuivi ces interviews de l’extrême, [Bertrand Dermoncourt] publie Valery Gergiev, rencontre chez Actes Sud. Cent quatre-vingt-cinq pages d’entretien qui donnent plusieurs points de vue imprenables.
Les pépites de ce livre d’entretiens sont à chercher dans la manière dont le maestro parle de ses compositeurs fétiches et, surtout, de son art de diriger
Premier livre en français sur le chef.
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