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Bretonnes



En quelque vingt années, Charles Fréger s’est imposé comme le portraitiste des communautés humaines, dans leurs dimensions collective et individuelle, dressant, par le biais de l’inventaire photographique, des typologies de manières d’habiter, pour les individualités qui la composent, sa communauté d’héritage ou d’élection. Signe visuel d’appartenance et de ralliement, l’uniforme, sinon le costume, du plus protocolaire au plus « sauvage », constitue le motif central de son œuvre. L’inventaire ici dressé est celui des coiffes bretonnes : il impose la vitalité et la contemporanéité de traditions que l’on aurait trop vite fait de remiser au rang de folklore.

juin, 2015
19.00 x 22.00 cm
256 pages


ISBN : 978-2-330-05044-3
Prix indicatif : 35.00€



Où trouver ce livre ?

Qu'elles sont belles, Les Bretonnes porturées par Charles Fréger

Jean-Sébastien Stehli, Madame Figaro

Des Bretonnes bien coiffées.

Clémentine Goldszal, Glamour

Charles Fréger expose des photos de femmes vêtues du costume traditionnel. Le résultat illustre la vivacité d'une identité collective.

Gilles Renault, Libération

Le photographie Charles Fréger s'est lancé avec passion dans un inventaire poétique des coiffes bretonnes.

Gwénaëlle de Carné, 7 jours

Etrange et pénétrant.

Marie-Christine Biet, Unidivers

Une collection de coiffes d'une richesse insoupçonnée dont même les noms constituent un inventaire à la Prévert.

Mathieu Oui, Télérama

En dentelle, brodées, plates, en forme de pain de sucre, avec bonnet rond, avec des ailes relevées au-dessus des épaules…les coiffes bigoudènes sont rattachées à des identités et à des territoires.

Pascal Grandmaidon, Figaro magazine

Une série de portraits pop – à admirer aux quatre coins de la Bretagne.

Sonia Desprez, Glamour

Attention portée au costume, solennité de la pose… Charles Fréger semble toujours faire corps avec ses sujets.

De beaux tirages qui mettent en valeur la délicatesse des ouvrages : dentelles fines et pliages sophistiqués.

 

C'est là toute l'intelligence de Fréger : les poses et les scènes jouent clairement avec l'idée de représentation d'un imaginaire breton, construction irréelle et fantasmée.

Claire Guillot, Le Monde

L'exercice de style, inspiré des peintres de Pont-Aven, séduit, et le magnifique texte introductif de Marie Darrieussecq apporte une touche de romance bienvenue.

Benjamin Favier, Le Monde de la Photo

Chacun de ces atours, dont la subtilité touche parfois à l'art pur, est ici magnifié.

Marie-Eudes Lauriot-Prevost, Point de vue

Un ouvrage en forme d'inventaire délicat.

Isabelle Stassart, Figaro.fr

Dans le livre Bretonnes, Charles Fréger épingle avec tendresse une jolie brochette de demoiselles qui portent coiffe. De face ou de profil, leur blanc visage, parfois rehaussé de rougeurs enfantines, devient grave et pénétré au contact d'ornements ancestraux. Touchante manière de remonter le temps.

Jean-Marc Le Scouarnec, La Dépêche

La romancière Marie Darrieussecq signe la nouvelle Bretonnes en introduction au livre du même nom qui recueille les photographies de Charles Fréger sur les coiffes des femmes de Bretagne.

Emmanuelle Bour, Livre Hebdo

La coiffe et plus largement le vêtement traditionnel, participent toujours d’une représentation symbolique de l’identité bretonne  qu’elle soit de témoignage, de revendication culturelle ou à vocation touristique.

L'oeil de la Photographie

Un formidable aller-retour dans l'histoire consigné dans un superbe ouvrage édité par Actes Sud.

Stéphane Brasca, DE L'AIR

Il se dégage de ces photographies douceur, rêve, poésie et un léger trouble de temporalité car le photographe fait là se croiser de l'immuable et de l'anachronique.

Magali Jauffret, L'Humanité

On sent une douce autorité derrière ses photos, dont la beauté possède la force des évidences.

Ces navires de dentelles peuvent devenir le point de départ de tous les imaginaires.

L'ensemble est animé d'un souffle qui porte la signature d'un artiste à part entière. Car Charles Fréger cherche, et trouve, le singulier au-delà du pluriel.

Thierry Dussard, Le Télégramme

Avec le même regard distancié qu'il a porté sur le peuple des Herreros de Namibie ou les hommes de la Légion étrangère, le photographe Charles Fréger s'est pris de passion pour les costumes et coiffes de Bretagne.

Clarisse Lucas, AFP Rennes

Précis, déterminé et l’œil constamment aux aguets du moindre détail, Charles Fréger expose un travail photographique d’une rare beauté, hommage délicat au costume traditionnel et à des jeunes femmes attachées à promouvoir une culture, à travers leurs coiffes et leurs robes.

Agathe Perrault, L'Éléphant

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