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Un juif en cavale (EPUB)

Un juif en cavale (EPUB)


Après Loin de quoi et La Métaphysique du hors-jeu, troisième et dernier volume des aventures de Simon Sagalovitsch. Où l’on retrouve le « juif impossible » trimballant son atavique mélancolie, son single malt et ses anxiolytiques sur les plages alanguies de Tel Aviv, apprivoisant l’improbable dolce vita israélienne à Jaffa et prenant en main la destinée… d’une petite équipe de football locale. Drôle et fatal.


0,0 x 0,0 cm
pages


ISBN : 978-2-330-01729-3
Prix indicatif : 14.99€



Où trouver ce livre ?

Laurent Sagalovitsch continue à entraîner son lecteur dans des phrases interminables, tours et détours jubilatoires. On retrouve intact l’humour déjanté des deux livres précédents : un joyeux moment de lecture.

Marie-Paule Caire, Parution.com

Laurent Sagalovitsch est un écrivain de fond, un portraitiste gouleyant, un feuilletoniste haletant. (…) Il manie l’humour juif ad libitum en tirant tous les partis comiques de sa déprime existentielle, laquelle devient un remède bien senti à la mélancolie du lecteur (si tant est).

Monique Neubourg, Art Travel

Même s’il n’est pas nécessaire d’en avoir lu les deux premier volets pour en apprécier toute la verve comique et désespérée, ce tome tient bien du bouquet final. Dans une langue comme emballée, ivre d’elle-même, qui dans ses meilleurs moments rappelle la démesure d’un Mordechai Richler, le romancier offre en contrebande une réflexion âpre et douloureuse sur la fortune et l’infortune qu’il y aurait à être né juif. La difficulté, aussi, de le rester.

Olivier Mony, Livres Hebdo

Derrière la drôlerie du récit perce l’obsédante question de l’identité juive et  de l’appartenance, comme chez Philip Roth et Mordecai Richler, auxquels l’humour de Sagalovitsch fait immanquablement penser.

Ariane Singer, Transfuge

Simon, Ce juif errant des temps modernes, qui a couru pendant trois livres derrière il ne savait trop quoi (…), n'aura pas raté sa sortie d'Egypte, ni son échappée, à laquelle ses admirateurs se résoudront difficilement, hors de l'univers irrésistible de Laurent Sagalovitsch.

Emilie Grangeray, Le Monde des Livres

Il s'agit du meilleur des trois romans, ce qui fait bien sur regretter qu'il soit le dernier.

Sagalovitsch atteint des sommets dans un  délire nourri de tous les événements (…). Tout est dérisoire et le rire fuse à chaque page.

 

Pierre Maury, Le soir

Dans une langue comme emballée, ivre d'elle-même, qui dans ses meilleurs moments rappelle la démesure d'un Mordecai Richler, le romancier offre en contrebande une  réflexion âpre et douloureuse sur la fortune et l'infortune qu'il y aurait à être né juif. La difficulté, aussi, de le rester.

Olivier Mony, Livres Hebdo

En lisant Un juif en cavale, on éprouve le sentiment jouissif de naviguer d’un compte-rendu de match de Division d’Honneur dans l’Équipe rédigé par un journaliste sous acides, à un scénario digne d’un film des frères Coen, mis en scène par le roi du mélo hollywoodien Douglas Sirk. Sagalovitsch possède ce talent rare de faire passer son lecteur de l’éclat de rire à l’émotion sans pathos, tout en douceur.

Alain Granat, JewPop

Simon Sagalovitsch ? Un drôle d’avatar, une sorte de Woody Allen mâtiné de Jean-Pierre Bacri, qui nous fait un Lost in Translation entre Paris, Vancouver et Tel-Aviv Beach. (…) Sous le ton drolatique d’un auteur emporté par sa prose torrentielle, l’amertume affleure, palpable et touchante. Jusqu’à l’épilogue, mystérieux pied de nez à la fatalité.

Anne Berthod, La Vie

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