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La Convergence des alizés (EPUB)



Je t’aime je t’aime je t’aime… en disparaissant du jour au lendemain, Helena ne laisse pas d’autre indice à Zé que ces mots griffonnés à la hâte, qui le balayent comme une tornade. Alors il quitte Bélem, le cœur de l’Amazonie, et débarque à Rio, ne croyant qu’aux bonnes ondes et aux sentiments magiques pour le mettre sur la piste de son âme sœur, versant lumineux de sa propre mélancolie. A la recherche d’Helena, Zé trouve et embrasse le Brésil. Un pays comme une étreinte. Et comme une initiation à tous les possibles chuchotés par l’Histoire et promis par le Sud du monde.


0,0 x 0,0 cm
pages


ISBN : 978-2-330-01336-3
Prix indicatif : 9.99€



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Un Brésil hypostasié, dont les hérauts romanesques paraissent n’être que les attributs ornementaux d’une substance quasi éternelle et désirée, merveille qui subsisterait au-delà des tombes. La Convergence des alizés est donc l’histoire d’un amour.

Paulin Césari, Le Figaro Magazine

Il ne se pouvait pas que l’écrivain ne consacre un jour un grand roman à ce pays d’adoption. Un roman fleuve, forcement Touffu complexe, ramifie, tumultueux, tout comme l’Amazone. Impossible de résumer La Convergence des alizés, à propos de quoi l’auteur prévient par avance : « J’avais tant de choses à donner à voir, à sentir, à aimer. ».

Jean-Claude Perrier, Livres Hebdo

On savait Lapaque fou de vin, croyant, on le découvre Brésilien. Amoureux fou de ce pays dont il rend jusqu’à l’haleine, le souffle intime. Un Brésil pur, sans additif, qu’il a d’ailleurs découvert en lisant Bernanos. Un Brésil qui est aussi le seuil gigantesque de l’Amérique du Sud.

Antonin Iommi-Amunategui, Libération

La ville sent « les épices brûlées » et le soleil tape. On parle football et littérature avec la même passion, on s’intéresse autant au voyou crasseux qu’au sénateur crapule. La réflexion est culturelle, sociale, politique. Sensible aussi, car le regard cherche à capter l’intangible.

Thomas Stélandre, Le Magazine littéraire

Voilà que Lapaque fait de chacun de ses lecteurs, non un Brésilien de toujours, mais une sorte de Brésilien à jamais.

Yann Moix, Le Figaro littéraire

Un roman polyphonique à la fois désespéré et enjoué qui est avant tout une forte charge contre le gouvernement. Un texte violent  qui aurait pu être écrit par un Brésilien dans lequel le Brésil est le personnage central. Et un magnifique exercice de style de la part de Sébastien Lapaque !

Aurélie Paschal (Libraire Prado Paradis, Marseille), Page des Libraires

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