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Le pérégrin émerveillé



Le 1er mai 1990, Jean-Louis Gouraud quitte la région parisienne avec deux chevaux, deux trotteurs français. Il emporte avec lui très peu de bagages, mais quantité de papiers : permis, visas, certificats vétérinaires, sanitaires, douaniers. Il doit franchir, en effet, de nombreuses frontières : traverser les deux Allemagne, la Pologne et pénétrer, enfin, en URSS. Il est le premier Occidental autorisé à entrer à cheval en Union Soviétique, grâce à l’accord de Mikhaïl Gorbatchev. Jean-Louis Gouraud arrive à Moscou le 14 juillet après avoir parcouru 3333 kilomètres en 75 jours. Les nombreuses notes prises par Jean-Louis Gouraud au cours de ses allers et retours vont bien au-delà de l’anecdote. Il ne s’agit pas ici du simple récit d’un exploit équestre, mais du portrait équestre d’un empire où,

Jean Louis Gouraud, vous m'avez réconcilié avec le cheval.

Alex Taylor, France Musique

Plus qu'un récit de voyage, c'est un véritable petit manuel de géopolitique.

Marie-Laure Peretti, Sports Equestres

Naviguant sans cesse entre histoire, littérature, religion et équitation, Jean-Louis Gouraud brosse le portrait d'un empire et d'un formidable basculement.

Vincent Lasseret, Cheval magazine

Prenez le temps de lire le dernier pavé (plus de 500 pages) de notre ami Jean-Louis Gouraud.

Frédéric Halm, Cheval pratique

Ecuyer de grands chemins et auteur, Gouraud se place avec humilité dans le sillage du grand Nicolas Leskov, à qui il emprunte le titre enchanteur de son livre. Par endroits, lui qui a les pieds sur terre, semble respirer dans les étoiles.

Frédéric Ferney, La Revue

Ce gros bouquin est un bréviaire, autant pour les cavaliers que pour les géographes...Appartenant à ces deux mondes, j'ai passé en sa compagnie un moment de pur bohneur.

Sylvie Brunel, Le Cheval

Ce récit, qui mêle éclats de rire et nostalgie, enchantera les lecteurs épris d'aventures singulières.

Joséphine Dedet, Jeune Afrique

Amour de cheval, amour du voyage, amour de la Russie : c'est tout cela qu'on trouve dans Le pérégrin émerveillé.

Marie-Hélène Fraïssé, France Culture

Il y a dans Le pérégrin émerveillé une subtile bienveillance envers tout le monde à cheval et même un peu d'indulgence pour les lecteurs à pied.

Patrick Besson , Le Point

Jean-Louis Gouraud raconte l'incroyable périple équestre qui le mena, en 1990, jusqu'à Moscou... On en sort fourbu et passionné.

Jérôme Garcin, Le Nouvel Observateur

Quatre cents ans après Montaigne, Gouraud nous prouve magistralement que les écrivains devraient toujours travailler le cul sur le selle.

Sylvain Tesson, Le Figaro Magazine