Aller au contenu principal

La Main qui ment suivi de Avaler l'océan et de Le Sang des amis


«La Main qui ment»: La journaliste Sonia Granger vient réaliser un reportage sur le nouveau Prix Nobel de biologie. Une guerre civile récente laboure encore les mémoires. Les souvenirs d'inhumanité ne s'effacent pas aisément. Bientôt la vérité se lève, coupante comme un rasoir. Des hommes et des femmes balancent entre vengeance et pardon dans une forme de théâtre-récit où se rejoignent hier et aujourd'hui.

«Avaler l'océan»: Lors d'une guerre civile, les intérêtes d'un participant ne coïncident pas forcément avec les intérêts du groupe en lutte. Une déchitrure se creuse dans la bonne conscience. Chacun considère son propre intérêt comme le plus vital au monde et il arrive que traîtrise et fidélité soient une seule et même chose.

«Le Sang des amis»: Inspiré de Plutarque et de Shakespeare, ce troisième volet continue de creuser le thème de la guerre civile. Autour des figures mythiques de Jules César, d'Antoine et de Cléopâtre se rejouent les rapports troublés de la barbarie et de la civilisation.

Né en 1944, Jean-Marie Piemme a suivi des études de littérature à l'université de Liège et de théâtre à l'Institut d'études théâtrales (Paris-III-Sorbonne-nouvelle). Dramaturge à l'Ensemble théâtral mobile, il collabore ensuite avec le Théâtre Varia à Bruxelles. De 1983 à 1988, il rejoint l'équipe de Gérard Mortier à l'Opéra national de Belgique. Actuellement, il enseigne l'histoire des textes dramatiques à l'Institut national supérieur des arts du spectacle de Bruxelles (INSAS). Il a écrit plus d'une trentaine de pièces jouées en Belgique et à l'étranger. Plusieurs sont éditées chez Actes Sud-Papiers.

avril, 2011
15.00 x 20.50 cm
160 pages


ISBN : 978-2-7427-9614-4
Prix indicatif : 15.30€



Où trouver ce livre ?
Ce livre existe également en version numérique

Du même auteur