Wang Xiaobo (1952-1997) appartient à cette “génération perdue” qui a le plus subi les effets néfastes de la Révolution culturelle. Bien qu’il ait commencé à écrire dès 1982, ses textes ont rencontré des difficultés pour être publiés en Chine populaire malgré leur succès à Taiwan et à Hong Kong, à cause des descriptions sexuelles audacieuses qu’ils renferment.
Récemment chez Actes Sud : Le Monde futur (2013).
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