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Sans passer par la case départ



Skurusundet, détroit huppé dans l’archipel de Stock­holm, réveillon de la Saint-Sylvestre. Quatre jeunes sont réunis pour fêter la nouvelle année. Leurs parents, quant à eux, sont tous rassemblés dans la maison voisine. Pour une raison ignorée des autres, chacun des quatre amis observe d’un œil mauvais les adultes depuis la fenêtre. Leur état d’ébriété est déjà bien avancé. Pour braver l’ennui, ils décident finalement de jouer au Monopoly. Mais ils ne sont plus des enfants : il faut pimenter les règles et les enjeux. La partie d’action ou vérité dans laquelle ils se lancent les entraîne vers des révélations de plus en plus fracassantes et des mises en situation de plus en plus dangereuses, jusqu’au point de non-retour.
Camilla Läckberg frappe fort dans ce nouveau page- ­turner, un huis clos d’une tension redoutable.

octobre, 2021
13.50 x 21.50 cm
112 pages

Susanne JUUL

ISBN : 978-2-330-15567-4
Prix indicatif : 12.90€



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Ce récit, glaçant et percutant, met en scène quatre adolescents de la haute bourgeoisie de Stockholm qui s’apprêtait à fêter le Nouvel An.

Pauline Conradsson, LE PARISIEN / AUJOURD'HUI EN FRANCE WEEK-END

Le roman court est un genre où Läckberg excelle.

Dans une ambiance ultra cynique, digne des films dérangeants de Ruben Ostlund, les jeunes fêtards se montrent tour à tour odieux, jaloux, pervers, bêtement provocateurs. Et les gages qu’ils s'infligent sont de plus en plus affligeants. Mais en ouvrant la boîte de Pandore de leurs secrets les plus intimes, c’est bien le masque respectable des adultes qu’ils finissent par faire voler en éclats. Morale de cette nouvelle subtilement assassine : qui sème le chaos dans sa famille récolte une vengeance froidement exécutée. 

François Lestavel, PARIS MATCH

Une fois encore, la reine du polar scandinave fait preuve d’une impressionnante maîtrise dans l'art de dessiner le huis clos. 

Serge Bressan, LE QUOTIDIEN

Lourds secrets, tromperies : la reine du polar scandinave nous embarque, une nouvelle fois, dans ce court huis clos suffocant, qui se dévore en une bouchée.

Héloïse Goy, TELE 7 JOURS

Camilla Läckberg signe là un court roman dans lequel son écriture met à bas les faux-semblants et l’hypocrisie qui règne parfois au sein des familles en apparence unies. Sa galerie de personnages, à la fois paumés et décadents est des plus attachantes et on aurait volontiers retardé l’incroyable dénouement de quelques dizaines de pages. Nettement plus subversif que ses premiers romans – (…) – Sans passer par la case départ n’est pas sans rappeler la formule provocatrice d’André Gide : « Famille, je vous hais ! »

Samuel Loutaty, TELE Z

Le nouveau frisson Läckberg.

VOICI

Un court récit dans lequel la reine du polar suédois entraîne le lecteur dans une implacable descente aux enfers, au dénouement plutôt glaçant. 

TELE 2 SEMAINES

Camilla livre ici un huis clos malaisant au final sans retour possible. 

Thierry Coljon, LE SOIR

Dans ce court thriller, Camilla Läckberg, reine incontestable du polar scandinave, joue une nouvelle fois avec nos nerfs !

FRANCE DIMANCHE

"Un huis clos bref et percutant."

Martine Freneuil, LE QUOTIDIEN DU MEDECIN

Le roman a beau être court, il n’en est pas moins prenant, mais si noir… rien d’étonnant puisqu’il est signé Camilla Läckberg ! 

LE DAUPHINÉ LIBÉRÉ

Quand ils décident de jouer au Monopoly, c’est en pimentant les règles. La partie d’action ou vérité va les conduire de révélation en révélation, jusqu’à la tragédie.

Gaston-Paul Effa, LA SEMAINE DE NANCY

Le dernier thriller de la reine suédoise a tout pour nous glacer.

CARREFOUR SAVOIRS

Camilla Läckberg raconte moins les dérives d’un jeu de société qu’un tragique jeu de regards et d’apparences. (…). Au fil des pages l’auteur montre bien qu’on ne connaît jamais ceux qui nous entourent, et plus particulièrement les personnes que l’on aime. (…). Les dialogues fusent et l’émotion monte en intensité. L’écriture, sous tension, devient électrique.

Comme dans ses précédents ouvrages, Camilla Läckberg propose une histoire, qui dans ses dernières pages tournent au récit défouloir. Un bouquet final qu’on attendait mais qui ne déçoit pas. Amoral et absolument fatal. 

Alice Develey, LE FIGARO LITTERAIRE

Un huis clos oppressant, conduit par une tension croissante et mené avec efficacité par la reine du thriller scandinave.

Nicolas Aguirre, TELE STAR JEUX