Sous-titre
Conseils impurs d'un vieux dégueulasse
«Cry-Baby», avec Johnny Depp dans un de ses premiers rôles ? C’est lui. «Serial Mother», mettant en scène une
Kathleen Turner en mère tueuse sur fond pastel ? Lui encore. «Hairspray», qui a connu un énorme succès tant à
Broadway que dans sa réadaptation cinématographique ? Lui aussi.
Réalisateur, scénariste, acteur, écrivain et artiste jusqu’au bout de sa célèbre moustache dessinée à l’eye-
liner, John Waters – alias le Pape du Trash – semble avoir autant de casquettes qu’il a eu de vies. À
soixante-quatorze ans, toujours aussi déjanté et acerbe, il revient avec ce nouvel ouvrage, à la fois
mémoires et livre de conseils, récit nourri d’anecdotes de tournage et d’expériences personnelles, d’hommages
et d’exercices d’admiration (Warhol, Divine, Pasolini, Patty Hearst…), d’humour irrévérencieux et de «punch
lines» ravageuses.
Toujours aussi radical et transgressif, le dandy punk et kitsch de Baltimore, devenu culte malgré lui,
continue d’épingler les travers de ses contemporains et de pourfendre ses ennemis : le conformisme, le bon
goût, les racistes et homophobes de tous bords. Pour cela, il dispose d’une arme de subversion massive :
l’humour noir. Qu’il évoque sa période underground et ses déboires hollywoodiens ou qu’il livre ses pensées
sur la sexualité, le militantisme, la mort, l’art simiesque ou la drogue, John Waters le fait toujours avec
une formidable liberté de ton et un sens de la formule percutant.
mars, 2021
14.50 x 24.00 cm
368 pages
ISBN : 978-2-330-14880-5
Prix indicatif : 24.00€
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Fidèle à sa réputation, il a beau dire qu’il a des limites, il reste un hippie dans l’âme, noircit des pages transgressives et envoie quelques punchlines ravageuses. Ajoutez à cela une incroyable liberté de ton, l’humour noir comme arme de subversion massive et vous aurez du mal à décrocher de cette lecture.
Tout est à son image : obscène, provoquant, radical et transgressif... Toujours hilarant.
Un délicieux bonbon au poivre, par le réalisateur insolent et hilarant de Cry Baby et de Serial Mother.
John Waters choque, John Waters révulse, John Waters fascine. À 75 ans, le réalisateur américain est toujours capable de dynamiter la bienséance et le bon goût.
J’ai adoré.
Le livre le plus trash et le plus délirant.
C’est hilarant.
Un livre magistral.
Avec ses mémoires aussi hilarants que percutants, M. Je-Sais-Tout, le cinéaste américain confirme qu’il est l’un des artistes américains les plus allergiques au système... et l’un des plus précieux, puisqu’il parle à toutes les générations.
Le pape du cinéma trash couche ses souvenirs par écrit et n’épargne personne, surtout pas lui-même.
John Waters nous régale avec toutes les saillies qu’il balance aux conformistes de toute obédience.
Waters nous rappelle l’essentiel : se rebeller contre le bon goût car le conformisme, c’est la mort.
Le pape du cinéma trash couche ses souvenirs par écrit et n’épargne personne, surtout pas lui-même.
John Waters nous régale avec toutes les saillies qu’il balance aux conformistes de toute obédience.
Waters nous rappelle l’essentiel : se rebeller contre le bon goût car le conformisme, c’est la mort.
Vous ne trouverez pas meilleur remède à la moraline ambiante que ces Mémoires poilants, déguisés en manuel de savoir-vivre.
Les Mémoires du « pape du trash », John Waters, rassemblent autant d'anecdotes savoureuses que de conseils avertis (…). Autobiographie aussi géniale qu’iconoclaste.
Toute son œuvre est placée sous le signe de la provoc (…), même si elle s'est légèrement assagie au fil du temps. L'homme, lui, est resté sacrément vert, n'a rien perdu de son sens de l'humour, ni du récit.
Un livre hilarant, bourré de conseils délicieusement déraisonnables.
Un délicieux bric-à-brac. (…) une honnêteté déconcertante, un humour iconoclaste et une bienveillance qui contraste souvent avec la « crudité » des propos. Un vieux dégueulasse, peut-être, mais un grand monsieur.