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À l'orée du danger


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Cyril DION



Sans cesser de rappeler la nature du désastre, ces poèmes cherchent la lueur de l’aube. Ils convoquent les éléments, la matière, sa puissance. Ils interrogent l’humain et ses débordements, chantent ses déambulations, le propulsent vers l’état de résistance, de combattant qui tente de défendre sa liberté, de restaurer sa vie.
Un recueil incandescent, violent parfois, souvent mélancolique. La voix d’un homme engagé, que la poésie autorise à user de la beauté de l’ellipse pour atteindre une partition plus intime qui mêle au danger le chagrin, mais aussi l’espoir et la jubilation.

mars, 2022
12.50 x 19.00 cm
96 pages

ISBN : 978-2-330-16401-0
Prix indicatif : 10.00€

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C’est fort, c’est rude, c’est beau, ça bouscule, ça réveille mais ce n’est jamais désespéré.

Emmanuel Khérad, La Librairie francophone, FRANCE INTER

C’est justement à retrouver le monde sensible que nous convient ces poèmes ardents de Cyril Dion, écrivain-réalisateur-militant, dont les mots courent de la colère à la joie.

Isabelle Potel, MADAME FIGARO

Cyril Dion n’est pas seulement le militant écologiste et le réalisateur qu’on connaît, il écrit aussi des poèmes. Mais la poésie et la musique ne sont-elles pas des actes de résistance ?

Suzanne Gervais, la Quatre saisons n'est pas qu'une pizza, FRANCE MUSIQUE

Le recueil dégage de la beauté d’une tristesse absolue.

Eva Bester, L'embellie, FRANCE INTER

Un recueil de poésie de combattant !

Matinale Weekend, RMC

Cyril Dion est le militant green que l'on connaît, auteur d'ouvrages pédagogiques et de documentaires. II est aussi poète. Dans ce deuxième recueil, ce garçon inconsolable et gai convoque en vers libres les éléments du désastre.

Dorothée Werner, ELLE

Ses courts poèmes sont comme une supplique pour que l'on ait encore le temps d'un bain de nature. Des textes qui rappellent la prière de Mahmoud Darwich. Le poète palestinien demandait à ceux qui bombardaient Beyrouth de lui laisser simplement le temps de faire un café et d'en humer l'arôme. Cyril Dion demande que l'homme « à l'ombre des herbes folles » puisse s'enivrer « de ciel les bras abandonnés et le cœur au repos ».

Valérie Beaudoin, L'ÉCHO RÉPUBLICAIN