Lorsque son ami d’enfance Magnus l’invite au cirque, le quotidien d’un homme solitaire et maniaque est sur le point de basculer. Pendant un tour de magie, Magnus disparaît pour ne plus jamais réapparaître. Le narrateur innommé se retrouve alors malgré lui lancé dans une quête absurde mais non sans profondeur où ses propres démons l’attendent au tournant.
novembre, 2022
11.50 x 21.70 cm
192 pages
ISBN : 978-2-330-17194-0
Prix indicatif : 20.00€
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Jonas Karlsson livre une nouvelle pépite tendre et loufoque dont il a le secret. II excelle dans l’art de mener son lecteur par le bout du nez, et celui-ci, immergé dans l’esprit et le quotidien du narrateur, en vient à douter de ce qui, au premier abord, paraissait évident. Karlsson nous invite ainsi à remettre en cause nos certitudes à l’égard d’un monde que l’on ne perçoit jamais qu’à l’aune d’un prisme individuel.
Glissant son lecteur dans la tête et le quotidien d’un solitaire un brin maniaque, Jonas Karlsson interroge nos certitudes et notre perception du monde dans un texte irrésistible et décalé, nous invitant à nous méfier de ce que nos sens nous dictent.
Ce livre est un tour de magie. […] Comme son Magic Bobbi, ou comme certaines figures de Paul Auster, auquel ce récit fait songer, l’auteur sait prendre des personnages d’apparence banale, raconter une histoire d’un ton badin, détourner l’attention, bifurquer soudain vers le rêve ou l’absurde, manipuler son public et le laisser bouche bée. […] Arrivé à la dernière page, le lecteur n’a qu’une envie : tout relire depuis le début, pour retrouver les indices disséminés ici et là, et comprendre comment il a pu se laisser leurrer. Chapeau, Mister Magic Karlsson !
Frissons garantis dans ce roman noir.
L’auteur suédois nous invite de nouveau dans son univers absurde, pour dire la violence du monde moderne. […] Jonas Karlsson est un maître dans l’art de la déstabilisation. […] Ce pourrait être simplement drôle et décalé, mais l’angoisse diffuse qui s’installe, et surtout la vie du narrateur qu’on découvre peu à peu, donnent à ce roman une portée très politique.
L’écrivain Jonas Karlsson revient avec Le Cirque, récit où s’épanouit encore son art du malaise insidieux. [Un] petit roman qui se laisse facilement dévorer.
Roi de l’absurde, Karlsson nous mène par la barbichette au cœur d’un mirage intime, au rythme d’une myriade de références musicales savoureuses et pointues.
Un roman irrésistible et décalé, une quête absurde qui nous invite à nous méfier de tous nos sens.
Un livre que j’ai dévoré, que j’adore. […] La fin est géniale. Le livre fait 200 pages, on le lit d’une traite.
Une comédie existentielle saupoudrée d'étrange, quelque part entre Clerks et Dino Buzzati, par un spécialiste du genre.