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Durer encore

Sous-titre
Un journal intermittent


Journal de deuil intermittent, entre travail de mémoire et d'accompagnement de l'aimée qui lutte pour «durer encore». Un livre-portrait écrit avec et sans distance, à l’épreuve de la maladie, et qui est avant tout un chant d'amour, de tristesse et de force.


La vie est un éclat de verre, un caillou noir, un vieux nuage. Une veste oubliée. Un foulard posé sur un dossier de chaise. Des albums de photographies, un tas de livres que tu n’as pas eu le temps de lire. Le souvenir de ton sourire mutin, ton envie lumineuse d’avancer, il n’y a pas si longtemps. C’est méchamment un peu court.

P. C.

octobre, 2019
10.00 x 19.00 cm
192 pages


ISBN : 978-2-330-12795-4
Prix indicatif : 20.00€


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Durer encore est la chronique d’un long accompagnement, celui de la femme aimée. C’est un « journal Intermittent », qui se place avec admiration sous l’égide du Présent d’incertitude de Henry Bauchau. Les poètes, Vladimir Holan ou Armen Lubin, offrent les mots pour formuler la douleur. [...] Alors qu’il est temps de « faire tanière » et d'affronter la mort, rien ne doit être oublié de ces précieux éclats de vie.

Monique Petillon, Le Monde des Livres

Une magnifique lettre d'amour, généreuse, bouleversante, qu'elle ne lira pas. Savourons notre chance.

Jean-Marc Laurent, La Montagne/Le Berry Républicain/Le Journal du Centre/Le Populaire du Centre

Durer encore est la chronique d’un long accompagnement, celui de la femme aimée. C’est un « journal Intermittent », qui se place avec admiration sous l’égide du Présent d’incertitude de Henry Bauchau. Les poètes, Vladimir Holan ou Armen Lubin, offrent les mots pour formuler la douleur. [...] Alors qu’il est temps de « faire tanière » et d'affronter la mort, rien ne doit être oublié de ces précieux éclats de vie.

Monique Petillon, Le Monde des Livres

Lisez ce journal, écrit par un styliste hors pair et que nous avons personnellement lu comme un écho à cette vérité sortie de la plume de Jankélévitch : "La mort, c’est l’inconsolable qui pleure l’irremplaçable."

Anne-Marie Mitchell, La Marseillaise

On ouvre ce vibrant journal comme on reçoit une lettre à l’absente, tout en pulsations, à fleur de peau, en perceptions fugaces vite inscrites dans les mots.

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