Sous-titre
Célébration d'un bestiaire nippon
Avec «Yokainoshima», c’est au Japon que Charles Fréger, photographe de réputation internationale, poursuit son fascinant inventaire des communautés humaines. Une fois encore, ses photographies combinent l’acuité du regard documentaire avec l’art de la mise en scène selon un style parfaitement neuf et singulier. Ordonnées au fil des saisons, elles évoquent, à travers l’extraordinaire variété des masques, costumes ou figures, et les commentaires d’anthropologues et spécialistes de la culture traditionnelle japonaise, tout l’arrière-plan de fêtes locales, de chorégraphies et de rites, qui culmine dans ces costumes étonnamment éclectiques. Cette remarquable suite de portraits passionnera les amateurs de mode et de traditions populaires, mais aussi les adeptes de l’imaginaire des mangas.
[Rencontres d'Arles 2016]
Exposition présentée à l'église des Trinitaires | 4 juillet - 28 août
juin, 2016
23.00 x 18.00 cm
256 pages
ISBN : 978-2-330-06470-9
Prix indicatif : 34.00€
Où trouver ce livre ?
Pour se repérer dans ce catalogue vestimentaire inédit, le livre d'Actes Sud offre un répertoire, agrémenté de petits dessins, classés par groupe et régions d'origine. Se dégage de cette faune touffue l'esprit de la nature, joyeux et gentiment démoniaque.
Farfelu et démoniaque.
Une galerie d'une intrigante étrangeté.
C'est beau et inquiétant. Etrange et coloré. Intemporel et présent.
J'adore cette plongée au cœur de la culture fantastique et puissante du Japon dont la beauté me fascine.
C'est à la fois gai et étrange, doux et ironique?
C'est à la fois gai et étrange, doux et ironique.
Magique.
Dans plus de cinquante lieux au Japon, l'artiste Charles Fréger a photographié les figures masquées et costumées pour les rites, coutumes et fêtes traditionnels accompagnant le cycle des saisons.
Inlassablement curieux et toujours étonnant. (...) Des "mises en scène surprenantes".
Les photos sont sublimes et nous font réfléchir à ces traditions perdues.
Une plongée rafraîchissante au coeur des traditions populaires.
Ce qui est étonnant chez Charles Fréger, c’est sa capacité à révéler l’esthétique suprême de ses sujets.
L'amoureux du portrait Charles Fréger est parti da,s l'archipel sur les traces des créatures surnaturelles qui peuplent l'imaginaire nippon et surgissent lors des fêtes traditionnelles.
Un bestiaire haut en couleur, comme un herbier de créatures mi-tigres mi dragons, mi-pantins mi-paons, à la fois onirique et enfantin. Alors rêvons.
Ces images comme échappées d'un rêve apparaissent dès lors comme des apparitions.
Les costumes, élaborés et éclectiques, sourdent d'une merveilleuse étrangeté.
Fascinant, tant sur le fond que sur la forme.