Qui sinon Sébastien Lapaque pour exalter l’usage de la carte postale comme geste poétique autant que comme art de vivre et d’être au monde ! Sa «Théorie» offre une brillante et irrésistible promenade sensible dans l’esprit, l’histoire et la pratique de correspondances électives dont le charme agit toujours sur notre ère électro-numérique.
février, 2014
10.00 x 19.00 cm
112 pages
ISBN : 978-2-330-02771-1
Prix indicatif : 10.00€
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Dans ce petit manuel insurrectionnel et "resurrectionnel", Sebastien Lapaque conjure le temps qui passe.(…)
Dans la langue magistrale qu'on lui connaît, il nous dit, encore une fois, que seuls les mots comptent. Et ce n'est pas la dernière fois.
Envoyer une carte postale, c’est cristalliser un moment, épingler une pensée, saisir un fragment du temps qui fuit. Un acte aussi fugitif qu'une caresse dont j’aime l'extrême simplicité, comparée à la joie inversement proportionnelle que l’on éprouve à sa réception, impression de recueillir la myrrhe, l’encens et l’or ! Tout cela n’est qu’une paraphrase de ce que Sébastien Lapaque a si bien écrit dans son livre merveilleux, Théorie de la carte postale (éd. Actes Sud). En cette période de quarantaine, ce rituel du matin est aussi une manière de donner un contour au temps, de lui imposer une liturgie, un solfège, une rythmique.
Adéquatement timbré Lapaque exalte sans cérémonie ce bout de carton. A déguster hors saison.
Rien de nostalgique dans ce petit livre, mais plutôt une réflexion douce sur ce dernier bastion tenu par les épistoliers. Un mode d'emploi poétique et vagabond.
La Théorie de la carte postale est un petit livre majeur, dont il faudrait éparpiller les quatre-vingt-dix-neuf pages tout au-dessus des paysages de votre choix.
C'est à pleurer de joie.
La théorie de la carte postale est adorable.
C'est un joli livre, encore plus mélodique que mélancolique, que cette Théorie de la carte postale que nous offre Sébastien Lapaque, comme l'air d'une chanson qui reste en nous de manière entêtante « longtemps, longtemps après que les poètes ont disparu ».
C'est un joli livre, encore plus mélodique que mélancolique, que cette Théorie de la carte postale que nous offre Sébastien Lapaque, comme l'air d'une chanson qui reste en nous de manière entêtante « longtemps, longtemps après que les poètes ont disparu ».
Dans un bref et joyeux vade-mecum récemment paru chez Actes Sud, Sébastien Lapaque exalte l'usage de la carte postale à l'ère d'Internet.
Les bourlingueurs et les rêveurs, toutes générations confondues, sauront apprécier.
Lisez le dernier livre de Sébastien Lapaque, Théorie de la carte postale ; c'est un vrai bonheur des mots.
Vous voulez lire un livre empli de poésie et d'humour léger et frais comme un vin ? (…) Alors lisez ce livre merveilleux, lumineux comme une fable de La Fontaine, frais comme l'eau de l'agneau qui dit "Je me vas désaltérant" et non "je me vais". Pourquoi ? Lisez, lisez, vous saurez.
On savoure ce traité un brin mélancolique, ode a la carte postale comme un art de vivre.
Un délicieux opuscule, rêveur et poétique.
Un irrésistible petit traité.
La carte postale n'est pas prête à donner sa démission.
Pour le romancier et essayiste Sébastien Lapaque, la théorie de la carte postale est une superbe déambulation entre le mots, une traversée de la langue, abordée par le plaisir du jeu des adresses, des codes postaux, des missives cryptées ou des lettres anonymes.
Dans "la Théorie de la carte postale", Sébastien Lapaque raconte, sans nostalgie ni désuétude, son amour –très actuel- pour cette petite attention centenaire, qui demeure très charnelle.
Renouer avec le rectangle de carton pour offrir de jolis mots à ceux qu'on aime : un "actes de résistance", pour Sébastien Lapaque.