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La chasseuse de trolls



Nul n’a jamais su ce qui est arrivé au petit Magnus Brodin, disparu dans la forêt du Färnebofjärden en 1978, à l’âge de quatre ans. Sa mère avait affirmé qu’un géant était sorti des bois et lui avait volé son fils, mais personne n’accorde de crédit au témoignage d’une femme sous le choc. Vingt-cinq ans plus tard, une nouvelle disparition et des témoignages troublants mettent une jeune cryptozoologue sur la piste de créatures indomptables qui se cachent habilement depuis la nuit des temps. Des êtres qui semblent avoir une prédilection particulière pour les petits enfants. Et un avantage imparable pour agir en toute impunité : personne ne croit en leur réalité…

Persuadée qu’elle va enfin pouvoir prouver l’existence des trolls, elle entreprend un terrifiant saut dans l’inconnu. Ignorant ce conseil que ses ancêtres ne pouvaient se permettre d’oublier : garde-toi bien de réveiller les forces obscures qui se cachent dans la forêt, car lorsque l’homme affronte la nature, c’est toujours elle qui gagne.

Thriller surnaturel mâtiné de fantasy, «La Chasseuse de trolls» est un roman d’une fascinante singularité.

mars, 2019
14.50 x 24.00 cm
640 pages

Jean-Baptiste COURSAUD

ISBN : 978-2-330-11415-2
Prix indicatif : 23.80€



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Une exofiction irrésistible qui mêle action, suspense et découverte. Savoureux !

Marie-Christine Luton, Pep's Magazine

Ce thriller mâtiné de fantasy redonne du crédit aux ogres qui hantaient nos enfances.

François Rahier, Sud-Ouest Dimanche

Un thriller surnaturel qui rend l’univers fantastique bien réel.

Ursula Laurent, 68 Mag

Comme beaucoup de titres appartenant à cette collection, c’est un roman atypique mais c’est justement là l’une de ses plus grandes forces.

Emmanuel Chastellière, Elbakin

Une réussite ! [...] Comme avec Le Parlement des fées de John Crowley, qui sut donner en son temps une densité littéraire, adulte enfin, aux sources de la fantasy et des contes de fées, Stefan Spjut, avec ce roman entame sa propre réhabilitation de la legenda fantastique scandinave.

Marc-Olivier Amblard, Boojum

La magie opère de belle façon et on s’enfonce avec délectation dans les légendes et le folklore scandinaves, attentifs aux indices distillés et sous le charme, tout simplement…

Sylvie Sagnes, Cunéipage

 Dans ce thriller fantasy troublant et savamment rythmé, Stefan Spjut s'appuie sur la mythologie scandinave issue des puissantes forces de la nature. Grâce à son écriture ancrée dans une Suède bien réelle, on mord à l'hameçon sans problème. On conçoit, comme hypnotisés l'improbable existence des trolls.

Paule Martigny, Mémoire des arts

L’histoire est une quête de fantastique qui tourne au cauchemar ; reste la forme : alternant habilement thriller et horreur, le journaliste et critique littéraire suédois Stefan Spjut nous entraîne dans un récit étrangement réaliste, premier tome d’un dyptique qui livre lentement les secrets qui animent chacun de ses personnages – hommes et presque humains. À suivre.

Colin Bouchat, Focus Vif

Stefan Spjut surfe avec adresse entre le légendaire et l’enquête policière, au sein d’un cadre très oppressant où la neige et le froid permanent ont la part belle.

Jean-Pierre Fontana, L’Écran Fantastique

Une des grandes qualités de l’auteur est sa capacité à nous immerger dans un pays de légendes qui donnent envie de croire au merveilleux.

Emmanuelle Loriaux, Le Suricate

L’approche originale de La Chasseuse de trolls quant au monde des créatures fantastiques nordiques est particulièrement intéressante.

Stéphanie Chaptal, Bifrost

J’ai trouvé ce que je cherchais en entamant cette route d’encre vers les pays scandinaves : de l’exotisme sous un enrobage de conte moderne.

Grégory Covin, Science-fiction Magazine

Le premier volet de ce diptyque […] nourrit la curiosité, nous immerge dans l’univers sombre et violent de Stefan Spjut.

Thomas Guilbert, Le Courrier de Mantes

C’est en nous immergeant dans la banalité du quotidien rural qu’il crée une ambiance délétère et nous conduit du naturel au surnaturel.

Martine Freneuil, Le Quotidien du Médecin

Le tour de force de Stephan Spjut, c’est de créer une histoire à laquelle on peut croire, des personnages auxquels on peut s’identifier, et ce malgré la présence des trolls qui pourraient en rebuter beaucoup, ne serait-ce que par les a priori que l’on peut avoir sur les récits de nature “folklorique”.

Julien Amic, Les Carnets dystopiques

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