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Côme


Un jeune auteur serbe, à la dangereuse propension à se soûler sans répit et peinant à trouver sa place ici-bas, obtient une bourse de la fondation Rockefeller pour résider pendant un mois sur le bord du lac de Côme. Sur un mode élégiaque et amusé, voici le journal d’un voyage initiatique et d’une renaissance où se côtoient quelques personnages hauts en couleur, qu’ils appartiennent à l’élite intellectuelle internationale ou qu’ils officient comme cafetiers dans d’anonymes et pittoresques bistrots locaux.

Petit à petit, une sensibilité d’écorché vif commence à pointer sous une carapace revêche : l’auteur se met à respirer la nature à pleins poumons, à s’imprégner des gens et de la beauté des lieux. Ainsi, de rencontres contrastées en conversations improbables, de micro-événements en petites épiphanies, il nous offre la chronique douce-amère d’une vie soudain à nouveau prometteuse.

«Côme» est un livre déjà culte en Serbie, qui a connu plusieurs prix, ainsi que maintes éditions et traductions.

janvier, 2011
11.50 x 21.70 cm
272 pages


ISBN : 978-2-7427-9531-4
Prix indicatif : 22.20€



Où trouver ce livre ?

Un livre drôle et enlevé. (...) Srdjan Valjarevic fait preuve d'une vitalité et d'un humour contagieux. (…) En janvier, Côme, sa villa et sa colline, s'impose comme la destination à recommander chaudement à tout voyageur littéraire.

Alexandre Fillon, Livres Hebdo

Côme est le plus joliment drôle des romans désenchantés de cet hiver.

Olivier Mony, Le Figaro Magazine

Un roman sans histoire ? Du grand art ! (…) Évidemment il faut avoir l’esprit un peu artiste – et très effronté – pour apprécier ce degré zéro de l’intrigue. Mais que le lecteur ne se méprenne pas : c’est un acmé aussi difficile d’accès que le “degré zéro de l’écriture” cher à Roland Barthes.

Sébastien Lapaque, Le Figaro littéraire

Au fil de pages d'un livre très contemplatif, la sensibilité de l'auteur impose une atmosphère unique. Un beau roman, chronique d'un ivrogne non repenti qui trouve les mots pour le dire.

Le Démocrate Vernonnais

Chaque page de ce journal de bord, où se mêlent dérision douce-amère et réflexion sur l’existence, est un régal.

Stéphane Dupays, Le Monde des livres

Personnage détaché de tout mais néanmoins attachant, il nous propose le journal d'un voyage initiatique et d'une renaissance où se croisent des êtres humains hauts en couleur d'univers socioculturels différents. On s'imprègne avec lui de la beauté des lieux et comme lui, on rêve de s'installer au pied des Alpes, au bord du lac de Côme.

Danièle Brügger, Le Journal du Jura

Un livre d’une drôlerie très fine, construite sur des contrastes saisissants et des situations absurdes envisagées comme des occasions à saisir.

Pierre Maury, Le Soir

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