Le voyage d'hiver de Schubert

Ian Bostridge a revivifié l’expérience commune de ce chef-d’œuvre de nuit et de brouillard en lui trouvant des connexions à la fois litétraires, visuelles, psychologiques, scientifiques et politiques.

Un magnifique gai savoir autour du Voyage d’hiver.

Un magnifique gai savoir autour du Voyage d’hiver.

Indispensable à quiconque s’intéresse au lied et à Franz Schubert.

Une exploration érudite, loin de toute exégèse musicologique

Un essai érudit et ludique

Il y a une iconographie magnifiquement choisie par Ian Bostridge, c’est un ouvrage extrêmement riche, un cabinet de curiosité construit par associations d’idées toujours très pertinentes.

On sent vraiment la liberté, la pensée s’échappe tout le temps mais vers des choses très pertinentes. C’est un dédale de pensées, mais il y a quelque chose de sinueux de très sensible.

C’est une démarche tout à fait originale et inédite, le propos principal n’est pas une analyse musicologique mais il explique la signification cachée du Voyage d’hiver à l’aide de toutes les disciplines. C’est un livre extrêmement érudit et passionnant.

Dans cet essai brillant, joliment (et judicieusement) illustré, Ian Bostridge ne fait pas œuvre de musicologue mais d’insatiable curieux.

Un livre assez fou, baroque.

L’œuvre d’un artiste érudit et inspiré, plein d’humour et de passion.

Un ouvrage passionnant et richement illustré.

Une lecture originale.

Superbe !

Un texte saisissant et déroutant.

Le ton, la connaissance intime du sujet et la richesse des informations nous ouvrent les portes de ce jalon fondamental de la culture romantique européenne du XIXe siècle.

Une enquête vivante et serrée.

Un essai d’histoire culturelle impressionnant, qui plus est magnifiquement illustré.

Le ténor britannique décrypte, dissèque même, chacun des lieder de ce cycle sublime et dépressif auquel il apporte la lumière de ses recherches et la vibration de son art.

Son analyse, pimentée de réflexions personnelles, souvent incongrues, parfois très amusantes, emprunte à la musicologie et à la sociologie.

Nul besoin d’être un mélomane pour goûter cette somme érudite.

Bostridge comble le vide, et le lecteur […] voit s’ouvrir un monde. Ces 450 pages passent comme un rêve.

Un texte saisissant et déroutant.

Bostridge compose le paysage d’une vie alimentée au généreux miroir de la musique schuberienne.

Une analyse passionnée, historique et parfois même politique de cette œuvre de Schubert.