Après une brève mais riche carrière militaire (Corée, Tunisie, Algérie), Jean-Claude Racinet quitte l'armée à l'âhe de 35 ans avec le grade de capitaine, pour s'adonner entièrement à l'équitation, comme enseignant et chroniqueur. Métiers dans lesquels il acquiert vite une certaine notoriété, et l'estime de quelques grands cavaliers, au premier rang desquels il faut citer le général Durand, écuyer en chef du Cadre noir de Saumur. La cinquantaine venue, il poursuit son activité aux États-Unis, où il se fait le propagandiste de la tradition française, qu'il a justement rebaptisée "l'équitation de légèreté". Jusqu'au moment où la mort, probablement consécutive à un accident, l'emporte, à la veille de sa quatre-vingtième année.