Sous-titre
La responsabilité sociétale des industries culturelles
Films, livres, presse, réseaux sociaux, jeux vidéo, musique, spectacles, expositions… éveillent notre joie, notre curiosité, notre réflexion, mais peuvent aussi induire un effet de serre périlleux pour nos cerveaux. Si le réchauffement climatique constitue un véritable danger pour la vie, celui des esprits doit aussi retenir toute notre attention. Trop de stéréotypes, de discours de haine ou de désinformation agissent comme des polluants, nuisibles à l’épanouissement individuel et à la cohésion sociale. La concentration de la production culturelle entre les mains d’un petit nombre d’acteurs risque également de formater nos imaginaires, d’essouffler la créativité et de fragiliser notre esprit critique.
Les industries culturelles doivent repenser leur influence, sous la vigilance d’une société civile sensibilisée.
L’enjeu est de préserver nos valeurs démocratiques et les droits humains en promouvant la liberté d’expression, la diversité culturelle et en protégeant les intérêts des enfants. L’autrice présente des pistes d’action concrètes afin que chacune des parties prenantes joue son rôle de vigie et d’alerte pour combattre ensemble le réchauffement des esprits.
janvier, 2024
14.00 x 20.50 cm
208 pages
ISBN : 978-2-330-18365-3
Prix indicatif : 21.00€
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Le formatage des esprits par la désinformation, l'image stéréotypée des femmes, l'emprise du numérique sur le cerveau des enfants sont autant de chantiers qu'il est urgent de disséquer pour que « l'empreinte culturelle » soit saine et durable. À lire pour savoir.
Pionnière de la responsabilité sociétale des entreprises, Pascale Thumerelle explique pourquoi certaines productions culturelles peuvent nuire à notre cerveau.
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