Daniel et Alison se sont aimés quand ils avaient seize ans, avant qu’elle ne s’enfuie du jour au lendemain sans donner aucune explication.
Elle lui a brisé le cœur, alors pourquoi en tombant sur son profil Twitter trente ans plus tard lui envoie-t-il une chanson ? Et pourquoi ne peut-elle s’empêcher de lui répondre par une autre chanson ?
Et si leur histoire n’était pas finie ?
février, 2023
14.50 x 24.00 cm
384 pages
ISBN : 978-2-330-17490-3
Prix indicatif : 22.80€
Où trouver ce livre ?
Une grosse bouffée de nostalgie servie par une écriture délicate. Le bonus pour la lecture : un code vers la playlist du livre pour vraiment s'immerger dans l’histoire.
C'est un livre qui sonne juste, puissant et fort, et qui magnifie des sentiments et sensations qu'on a tous connus un jour. C'est brillant de dépeindre avec autant de talent le fameux « ce qui aurait pu être ». Le projet de base est déjà chouette : mais en plus de cela, l'exécution est admirable !
En nous replongeant dans la magie des premières amours et des jolis souvenirs de jeunesse, ce roman anglais nous berce de nostalgie pour nous enrober dans un nuage diablement confortable.
Un très beau roman, que l’on parcourt avec un sentiment de nostalgie heureuse. Et si ?
On aime cette splendide histoire d’amour et sa playlist à télécharger grâce à un QR code au début du roman.
Un mélange entre Ken Loach et Nick Hornby […] C’est génial.
C’est la magie des chansons de dépoussiérer le passé et (r)établir le contact. Avec un entêtant Lovesong, Jane Sanderson évoque la playlist de « ce qui aurait pu être ».
Si l’on osait, mais oui, osons, on écrirait volontiers que Lovesong célèbre l’amour autant que l’immortel « Love Story », mais, par bonheur, sans son côté tragique.
Ces personnages passionnés de musique nous font vibrer et nous rendent nostalgiques de nos premiers amours ! Un magnifique roman sur la force de ce sentiment.
Un bijou d’émotions et de nostalgie.
Mêlant nostalgie et musique, ce roman se dévore tant qu’il est impossible de le lâcher.
Dans la lignée de Bienvenue au club de Jonathan Coe, la Britannique Jane Sanderson signe Lovesong, une romance singulière à travers le temps pour mieux souligner l’impact de certaines chansons sur nos vies. Forcément, on n’achève pas cette lecture en ayant les yeux secs.
Avec Lovesong, Jane Sanderson signe un bijou d’émotion et de nostalgie. On retrouve le frisson de ces amours qu’on ressent tellement fort qu’on a besoin des mots et des mélodies d’autres pour les exprimer, et le roman nous fait chavirer dans une vague de nostalgie douce-amère qui invite à se demander « Et si ? ». Mais aussi à réaliser que tous les « et si » ne sont pas toujours bons à être explorés, ou du moins, qu’on ne plonge pas dans le passé sans éclabousser, parfois irrémédiablement, le présent. De son écriture fluide et riche en émotions, Jane Sanderson signe un roman d’amour tout sauf mièvre, qui se prêterait parfaitement à une adaptation à l’écran.
Le tourbillon de la vie raconté avec un esprit irrésistible.
Cette love story-là carbure aux grands écarts. Avec entre eux ce fil tenace qui perdure : la jouissance que procurent les riffs et les rythmes des années 70.
C’est en fredonnant sur tous les tons - joyeusement, mélancoliquement que Lovesong, roman sur ce que l’on fait de nos idéaux de jeunesse, se dévore.
C’est magnifique, c’est le tourbillon de la vie. C’est un festival d’amour, de sentiments mais aussi de musique. C’est aussi un roman social : un mélange de Nick Hornby et de Ken Loach. C’est fait avec beaucoup de sensibilité et pose une question qui nous parle à tous : « Est-ce qu’on peut réparer le passé ? » Jane Sanderson est drôlement spirituelle, ça pourrait être un peu mièvre parfois mais pas une once de naïveté ou de mièvrerie. C’est LE livre de l’été, foncez chez votre libraire.
Un échange passionné de bon son entre les deux ex, de Blondie à Van Morrison en passant par David Bowie et Nick Drake. Une playlist de leur amour prêt à renaître de ses cendres.
Pour Ali et Dan, les jeunes héros de Lovesong, c’est la musique de leur tendre adolescence, à la fin des années soixante-dix, qui les marquera, au point de devenir pour eux, quelques décennies plus tard, comme une langue intime et secrète. Lovesong est un bien joli rappel de cet âge aussi inconfortable que magique et de l’importance vitale des bandes-son de nos vies.
C’est un roman extrêmement touchant sur la force des sentiments, qui traversent le temps et les contingences du quotidien, sur l’amour, le vrai, le beau, l’unique. Sur une toile de fond musicale très présente et forcément très marquée par la fin des années 70, Lovesong est une grande et belle histoire d’amour entre deux jeunes gens plus très jeunes, un roman qui donne envie de croire au coup de foudre et au concept d’âmes sœurs.
Jane Sanderson donne une seconde chance à une passion adolescente et nous chamboule avec une bande-son étourdissante. La musique vibre entre les lignes ; c’est la force de Lovesong d’éviter les pièges du roman sentimental. Des traumatismes que l’on a fuis, des souffrances dont on se protège, des passions mises de côté, Jane Sanderson fait un roman de renaissance. Par ce procédé original, ses différents points de vue et une sensibilité juste sans être doucereuse, elle remue les souvenirs lointains d’une époque où tout se vivait, comme la musique, à plein tube.